Pres de 60 000 personnes ont cree 1 compte depuis le lancement de l’application, en fevrier 2018.
L’application quebecoise Go See You est nee du desir d’offrir votre Tinder a ceux qui n’aiment nullement… Tinder.
D’aussi loin qu’elle se souvient, Melanie Trudel a i chaque fois aime jouer l’entremetteuse en amour. Ce « hobby » reste dorenavant au centre de son firme Celibataire Quebec, qui offre une panoplie d’evenements, de voyages ou de blind date a toutes les personnes seuls a la recherche d’un mari amoureux ou sexuel.
« Une dizaine de milliers d’individus ont participe a nos differents evenements depuis nos debuts en 2014 », souligne l’actrice d’affaires de Quebec.
A votre epoque, aussi si elle passait pour 1 dinosaure a toutes les yeux de nombre, elle preferait offrir des occasions de rencontre dans le reel plutot que dans le virtuel. Mais cette dernii?re a fini avec se rendre a l’evidence : des celibataires aiment les applications de rencontre.
PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, Notre PRESSE
Fondatrice de l’application quebecoise de rencontre Go See You, Melanie Trudel a toujours adore jouer l’entremetteuse en amour.
J’entendais tellement d’histoires d’horreur autour de moi, les irritants des applications, des rencontres virtuelles qui n’aboutissaient gui?re, mais les mecs continuaient de les choisir pareil. Parce que c’est un moyen de rencontre rapide.
Melanie Trudel, fondatrice de l’application Go See You
Notre 14 fevrier 2018, elle a finalement lance l’application Go See You : « Nous avons fait un an et demi de recherche et developpement avec 1000 testeurs celibataires avant d’la mettre sur le marche », ajoute l’entrepreneuse.
Elle nous assure que — contrairement a bien des applications de rencontre — la sienne ne fonctionne jamais avec un algorithme et que https://besthookupwebsites.org/fr/daf-review/ les representants ne sont gui?re notes. Go See You presente l’ensemble des celibataires potentiels qui sont situes pres de vous.
« Sur Tinder, on evoque que c’est avec geolocalisation, mais en realite, votre n’est jamais que ca. On va te montrer des personnes ayant un corps semblable au tien. Donc, si tu as le malheur d’avoir une photo qui n’est gui?re si excellente, ton score va etre plus bas et on va te montrer des gens au score similaire », explique M me Trudel.
En parcourant les profils des autres membres, on voit vite si les gens cherchent une relation serieuse, un statut familial, un horaire d’embauche, etc. « Si tu veux des enfants, tu ne perdras pas ton moment a parler avec des personnes qui n’en veulent pas », dit Melanie Trudel.
En moyenne, les membres ont entre 30 et 50 ans.
Je dirais a quelqu’un qui veut vraiment juste s’amuser d’aller sur Tinder. C’est jamais Afin de rien qu’on devoile « je joue a Tinder ». Mais la clientele de 25 annees et moins n’est moyennement via mon appli. C’est vraiment du 30 ans et plus.
Melanie Trudel, fondatrice de l’application Go See You
Pres de 60 000 gens, majoritairement des Quebecois, ont cree un compte Go See You depuis son lancement, ils font 20 mois. Meme si l’entrepreneuse voit grand et espere que son application sera telechargee aux Etats-Unis et en Europe, elle est consciente que, pour l’instant, ses membres seront pratiquement l’ensemble de au sein des grands complexes du Quebec. Un desavantage Afin de les individus en region.
Parce que Melanie Trudel continue de preferer les rencontres en personne, elle encourage aussi les rendez-vous sur Go See You. Des que 2 gens ont echange environ 100 messages, le systeme leur envoie des suggestions de sorties.
Autre initiative, le « ghosting » (qui consiste a arreter de discuter avec une personne sans avertissement) reste interdit. Si trois individus ont denonce le aussi membre, votre dernier reste banni de Go See You. « Parce que c’est vraiment 1 probleme sur les applications de rencontre. C’est 1 fleau ! Ca vient mettre en doute la personne qui se fait ghoster, elle se questionne sur elle-meme, alors que le probleme est l’autre personne. »
Meme si l’application quebecoise est gratuite, c’est possible de payer Afin de avoir acces a des privileges.